La ville d’Istanbul est très vaste et entre dans la liste des plus grandes villes d’Europe. Le passé historique de la mégalopole ottomane a forgé son architecture, son urbanisme et son environnement actuel. Pour chercher à savoir l’origine de tous les édifices et les cultures qui y sont pratiquées, il est important de remonter dans le temps.
Certains touristes étrangers veulent limiter leurs déplacements en Istanbul. En effet, ils choisissent de rester sur une superficie d’un kilomètre carré autour de Sainte-Sophie lors de leurs séjours. Cette prise de décision les éloigne donc des 95 % des lieux historiques stambouliotes.
Pour pallier ce problème de concentration dans le centre touristique qui ne représente qu’un pourcentage relativement faible des monuments historiques de la véritable vieille ville d’Istanbul, les opérateurs touristiques doivent lancer des campagnes de promotion en faveur de ses sites par le biais des diverses interfaces de communication.
En réalité, le centre historique d’Istanbul se trouve dans un milieu paradisiaque bordé d’eau. Il est traversé par l’estuaire appelé Corne d’Or et le détroit de Bosphore lui sépare d’une autre ancienne ville Üsküdar. La visite des édifices spectaculaires tels que l’aqueduc surplombant la jonction des routes Çayırbaşı, Kemerburgaz et Bahçeköy est fortement recommandée aux visiteurs.
L’histoire de la ville
La ville d’Istanbul fut créée en 330 par l’empereur romain Constantin 1er qui choisit Byzantium, une ancienne colonie grecque, à cet effet. La ville de Byzance date d’avant l’ère de Jésus.-Christ, notamment VII siècle avant cette période.
Depuis la prise du territoire, le nom de la cité fut muté en honneur de l’Empereur et devient Constantinople. Rappelons que l’appellation actuelle ne fut en vigueur qu’à partir du 28 mars 1930. L’Empire romain s’installe donc dans la partie orientale du continent et adopte la ville même comme étant sa capitale.